80% des forêts du territoire du Parc national sont anciennes, c’est-à-dire que leur couvert forestier est resté continu depuis plus de 2 siècles, ce qui est rare en France. Ces forêts étaient déjà là lors du dernier minimum forestier français au milieu du XIXème siècle.
La permanence du couvert forestier dans le temps a limité les perturbations du sol. Elle a aussi permis la conservation d’espèces forestières particulières et de nombreux vestiges archéologiques. Autant d’éléments patrimoniaux que le Parc national, en particulier en cœur, a la responsabilité de préserver. Ces forêts ont aussi une meilleure résistance et résilience aux attaques de pathogènes.